Mon premier fist

Catégories : Fist dilatation extrême GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 5 ans

Je m’étais déjà enfilé bien des choses dans le trou du cul, depuis un crayon jusqu’à un manche de pelle en passant bien entendu par un gode et les leviers de vitesse de mes voitures, lorsque, par l’intermédiaire de Sling, j’ai eu rendez-vous avec un homme dans la banlieue du Mans où, comme il me l’avait demandé, je suis allé à poil dans ma voiture. Celui qui me recevait habitait un pavillon en bordure des bois ; me garant devant chez lui, j’ai vu qu’il ne devait pas passer de monde, je suis sorti donc à poil et, entrant dans le jardin, suis allé sonner à la porte, qui ne s’est pas ouverte tout de suite, sur un type de mon âge, Jacques, lui normalement habillé.

N’ayant rien convenu sur le déroulement de la rencontre et n’ayant alors aucune expérience SM, j’ai demandé à Jacques de se mettre lui aussi à poil. Il n’en avait pas envie mais, comme j’insistais, il s’est déshabillé en gardant son slip et m’a dit que, avant de faire autre chose, allait commencer par me fouetter. Je ne m’y attendais pas mais j’ai accepté ; il a voulu m’attacher mais, ne voulant pas me livrer à un type que je ne connaissais pas chez lui où personne ne savait que j’étais venu, j’ai refusé en lui disant que ce n’était pas utile, je ne bougerais pas.

Je n’ai pas bougé ni crié mais il m’a longuement fouetté le dos et les fesses, d’abord au martinet, puis avec ce que j’ai alors vu comme une « baguette », maintenant je dirais une « cane », puis carrément au fouet. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais, à la fin, j’avais du mal à le supporter. Il m’a alors fait un lavement puis, enlevant un linge qui les cachait, m’a montré une belle collection de godes en me disant qu’il allait tous me les foutre au cul pour me préparer au fist, mot que je ne connaissais pas encore mais, en rigolant, il m’a bien vite renseigné en me mettant deux ou trois doigts dans le cul. Comme je bandais j’ai voulu me branler, il m’a dit que je n’avais pas le droit, j’ai obéi.

Comme prévu, il m’a successivement enfilé toute sa collection de godes, dont aucun ne devait faire plus de 6 cm de diamètre, en essayant de temps en temps de me mettre sa main dans le cul mais, malgré un abondant usage de vaseline, mon cul ne laissait pas entrer la main.

À sa demande, j’ai sucé sa grosse bite poilue, je lui ai léché le trou du cul, j’ai avalé son abondante semence puis, toujours à sa demande, me suis branlé devant lui qui croyait ainsi m’humilier ; pour lui faire plaisir j’ai dit que j’étais humilié, en réalité j’étais très content de m’exhiber à poil en train de me branler, j’aurais bien aimé le faire devant une foule.

Ayant encore essayé sans succès de me fister, il m’a demandé de me rhabiller mais, avant que j’aie eu le temps de le faire, il a encore essayé une fois de forcer ma rosette qui, à sa grande satisfaction et à la mienne, a enfin laissé passer sa main. C’est donc debout que j’ai été fisté pour la première fois. Du coup je ne suis pas parti tout de suite, il m’a longuement, très longuement, travaillé le trou du cul en l’enduisant régulièrement de baume analgésique. À la fin il y entrait le poing.

Avant mon départ nous avons pris l’apéro en bavardant. Il était technicien dans une fonderie où l’un de mes amis était ingénieur, c’est peut-être à cause de cela qu’il n’a jamais donné suite à ma demande de revenir me faire fouetter et fister.

Au retour le dos, les fesses et le fondement me brûlaient mais j’en étais bien content. Je me suis rarement fait fouetter depuis, mais j’avais tellement pris goût à me faire travailler la rondelle que j’ai bien vite acheté les plus gros plugs pour me dilater le sphincter. J’ai bien vite aussi trouvé des amis pour me fister aussi longuement qu’ils en ont envie et je me maintiens le trou du cul bien souple en m’y enfilant presque chaque jour quelques objets choisis dans ma collection.

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